Cela faisait, bof.... Presque trois années que j'ai voulu faire une critique. Une critique sur un défilé de mode, sur un article, un blue chip campaign, bref vous avez une idée.
Je ne suis pas une personne exclusive dans l'industrie même, mais en restant dans l'arrière-plan avec une vue en hauteur, j'ai quand même un bon sens de cette méga entreprise que se lit en tout, avec tout pour avoir une assez bonne image l’œil du 'public' et être dans une des choses positive dans le monde, malgré la misère que gens passe juste pour y goûter, à ce luxe de belle vie et compagnie.
Je l'ai observée, je l'ai scruté et maintenant, je veux la critiquer.
Pourquoi maintenant, pourquoi pas avant?
...
J'avais peur, peur qu'on critique moi plus tôt que l'opinion que je donne à propos d'elle.
Ce qui m'as poussée à crée enfin ce blogue, mon blogue, c'est de voir que la maison de couture Christian Dior a autorisé, voulu, je le sais-tu, un feed, leur propre feed de défilé de la collection croisière 2016 sur sc, as knowed as Snapchat. Caliss.
Ben beau de vouloir transformer styledotcom en un site de magasinage en ligne, faire semblant de reconnaître que la couture chinoise est meilleure que la parisienne dans la grosse pomme pourrie, de dire que la nouvelle coqueluche de la mode , soi-dite, sont les enfants des célébrités dont leur seul talent et business est le face contour pour une simple photo dont on vois clairement qu'elle a passer dans le filtre de photoshop juste pour la publier sur un compte de réseau social qui n'est pas social, selon le terme, po pan en toute, osti...
*inspire, expire*
Mes article ressembleront peut être plus à de rants que des critiques de mode, mais c'est ça que j'ai toujours voulu faire, écrire des critique sur cette si merveilleuse industrie qui est La Mode mesdames et monsieur.
Mon nom est Elisabeth, je suis une artiste/peindre qui vit que de jus d'orange et de gossip, j'ai toujours aimé et détester la mode dans tout les sens.
Excusez ma grammaire française puisque je suis bilingue et que failli écrire dont en don't et donèt.
Bref, ravie de faire connaissance.
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